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  • : JOURNAL DE BORD D UNE MERE DESEMPAREE
  • : L'histoire d'une maman qui se bat pour ses enfants
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Journal de bord d'une mère désemparée

(ce blog se lit de bas en haut  )

 

A peine créé et je me rend compte que j'ai fait une faute dans le nom du blog... Je pense que cela traduit bien l'état dans lequel je suis en ce moment.

Je suis usée, préoccupée et n'arrive même plus a me concentrer.

Pourquoi ce blog? Parce que j'ai besoin d'en parler, j'ai besoin de raconter ce combat que je mène depuis juillet 2010.

Je me présente, je suis la maman de 4 enfants dont 3 d'une 1ère union. Je suis me suis séparée définitivement de leur père en 2007 avec qui ils vivent depuis.

J'avais crue alors faire le meilleur choix pour eux, ne pas changer de maison ni d'école et puis il n'y avait pas de place pour eux chez ma mère, comme je m'en veux aujourd'hui.

Je n'ai jamais raté un we, j'ai continué a prendre des journées enfant malade pour eux, toujours versée la pension en temps et en heure, et toujours pleuré leur départ. Un enfer que de vivre sans ses enfants.

Photos enfants AutoCollage 13 Images

 

Pour mieux comprendre l'histoire je vous invite a commencer par la catégorie  l'histoire

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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 09:21

J'ai compris beaucoup de choses grace a ce blog: entraide pour se proteger des Pervers Narcissiques

 

 

Pris sur le site de Sylviane Barthe Libege Psychologue http://www.consultations-psychologue.com/articles/pervers.html

 

Selon Paul RACAMIER, « la perversion narcissique est une organisation durable caractérisée par la capacité et le plaisir de se mettre à l'abri des conflits internes et en particulier du deuil, en se faisant valoir au détriment d'un objet manipulé comme un ustensile ou un faire-valoir »

Les pervers narcissiques, hommes ou femmes, utilisent les autres comme s'ils n'étaient que des objets. On se sent d'ailleurs rapidement comme une « marionnette » entre leurs mains, faisant des choses que nous n'aurions même pas osé imaginer (soit à l'encontre de notre morale soit de notre éducation).

Outre le fait de manipuler, ce sont aussi des « torpilleurs psychiques » : ils pratiquent la douche écossaise ! Un jour, vous serez encensé, porté aux nues, vous êtes le joyaux de sa vie (mais ce ne sont que des sentiments simulés), pour mieux vous insulter par la suite, vous rabaisser plus bas que terre, traiter encore moins bien qu'un chien...

Et là où la perversion prend tout son sens, c'est qu'ils justifient leur comportement en vous prouvant que tout est de votre faute. Ils n'ont pu se comporter autrement car vous les avez pousser à bout, vous êtes tellement bête, stupide, moche... que vous devriez vous estimer heureuse qu'un homme (ou une femme) aussi intelligent(e), beau (belle) et merveilleux(se) fasse un peu attention vous !

Le pervers narcissique ne se comporte pas ainsi du jour au lendemain. Il y a toute une phase de séduction, presque d'endoctrinement de sa proie. Ce n'est qu'après quelques mois (voire quelques années) que le côté le plus vil de sa personnalité apparaît, mais par intermittence (avec des périodes d'excuses et de présents pour mieux acheter). Plus le temps passe, plus son caractère despotique s'affirme, allant jusqu'à porter des coups physiques.

Le pervers est convaincu d'être d'en son droit (avec parfois un désir de vengeance s'il se sent bafoué). Il jouit de la supériorité qu'il exerce sur l'autre, même si c'est autre, qui ne lui résiste plus, finit parfois par le lasser. Le pervers narcissique est un prédateur qui a besoin de « son os à ronger », mais cet os... c'est vous ! Il n'a aucun respect pour vous, à aucun moment. Vous n'avez d'intérêt et d'utilité que pour qu'il assouvisse ses besoins de pouvoir, de domination, d'autorité. Pour assouvir ses intérêts. Il est incapable d'amour pour quiconque d'autre que lui. Aucun sentiment humain, aucun état d'âme, aucun affect. Il est froid et calculateur. La haine est son moteur (il n'est donc pas rare qu'il fasse preuve de racisme...). Mais c'est une haine calme, froide, rationalisée, intellectualisée, et qui perdure dans le temps.

La victime du pervers narcissique n'est pas, contrairement aux idées reçues, une personne «faible». Mais sans doute une personne qui manque un peu de confiance en elle et/ou d'estime d'elle. Peut-être aussi un peu naïve. Ces traits de personnalité vont être exacerbés par le pervers (à commencer par la période «lune de miel» où il «écrase» par tant de «gentillesse»...). La victime est rapidement vampirisée de son énergie. Elle n'arrive plus à penser par elle-même (encore moins pour elle-même) ni même à agir par elle-même. Il lui dicte tout !

Il y a, de la part du pervers narcissique, un véritable processus de destruction et de dépersonnalisation de sa victime.

Vous vous demandez peut-être si, dans votre entourage, vous n'avez pas un pervers narcissique qui se cache ? Voici une liste, de 30 points, développée par Isabelle NAZARE-AGA :

 

1. Il culpabilise les autres au nom du lien familial, de l'amitié, de l'amour, de la conscience professionnelle.

2. Il reporte sa responsabilité sur les autres, ou se démet des siennes.

3. Il ne communique pas clairement ses demandes, ses besoins, ses sentiments et opinions.

4. Il répond très souvent de façon floue.

5. Il change ses opinions, ses comportements, ses sentiments selon les personnes ou les situations.

6. Il invoque des raisons logiques pour déguiser ses demandes.

7. Il fait croire aux autres qu'ils doivent être parfaits, qu'ils ne doivent jamais changer d'avis, qu'ils doivent tout savoir et répondre immédiatement aux demandes et questions.

8. Il met en doute les qualités, la compétence, la personnalité des autres : il critique sans en avoir l'air, dévalorise et juge.

9. Il fait faire ses messages par autrui.

10. Il sème la zizanie et crée la suspicion, divise pour mieux régner.

11. Il sait se placer en victime pour qu'on le plaigne.

12. Il ignore les demandes même s'il dit s'en occuper.

13. Il utilise les principes moraux des autres pour assouvir ses besoins.

14. Il menace de façon déguisée, ou pratique un chantage ouvert.

15. Il change carrément de sujet au cours d'une conversation.

16. Il évite ou s'échappe de l'entretien, de la réunion.

17. Il mise sur l'ignorance des autres et fait croire en sa supériorité.

18. Il ment.

19. Il prêche le faux pour savoir le vrai.

20. Il est égocentrique.

21. Il peut être jaloux (très jaloux).

22. Il ne supporte pas la critique et nie les évidences.

23. Il ne tient pas compte des droits, des besoins et des désirs des autres.

24. Il utilise souvent le dernier moment pour ordonner ou faire agir autrui.

25. Son discours paraît logique ou cohérent alors que ses attitudes répondent au schéma opposé.

26. Il flatte pour vous plaire, fait des cadeaux, se met soudain aux petits soins pour vous.

27. Il produit un sentiment de malaise ou de non-liberté.

28. Il est parfaitement efficace pour atteindre ses propres buts mais aux dépens d'autrui.

29. Il nous fait faire des choses que nous n'aurions probablement pas fait de notre propre gré.

30. Il fait constamment l'objet des conversations, même lorsqu'il n'est pas là.

 

Cette liste n'a pour but que de donner des signaux d'alerte pour les victimes de ces manipulateurs. Sachant qu'il est plus facile de s'extraire de leurs griffes au départ que lorsqu'ils vous ont pris dans leurs filets...

 

Sylviane LIBERGE

Psychologue clinicienne – Formatrice

Consultante - Conférencière

 

J'ai fais ce test, çà fait peur, très peur mon ex répond a 26 de ses critères sur 30!

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 21:32

J'ai trouvé cet article que je trouve très bien fait, il explique bien le procècus de la manipulation dans le cadre familiale.

 

Evidemment je ne me retrouve pas dans l'intégralité, mais dans une bonne partie tout de même. Je surlignerai ce qui m'est malheureusement familié.

 

Psychiatre, psychanalyste et victimologue, Marie-France Hirigoyen s'intéresse aux différentes formes d'emprise psychologiques. Elle reçoit dans son cabinet des victimes de harcèlement et de violences morales. Elle a publié en mai chez Oh éditions "Femmes sous emprise", un livre sur la manipulation dans le couple. Pour elle, la manipulation au sein d'une secte, d'un couple ou d'une famille est un même mécanisme. Elle décrit qui sont les manipulateurs, qui sont les manipulés. Elle explique les différentes phases dans la stratégie que mettent au point gourous, escrocs et autres manipulateurs.
Les agressions physiques dans le couple n'arrivent pas soudainement. Bien avant les bousculades et les coups, il y a une escalade de comportements abusifs et d'intimidations. La pire violence n'est pas la plus visible. Si les femmes ne partent pas, c'est qu'elles ont été piégées, mises sous emprise. Comprendre l'emprise, c'est aussi s'en déprendre.

Marie-France Hirigoyen, à partir de nombreux exemples, analyse les ressorts de la violence au sein du couple car il faut comprendre pour agir. Un livre utile et pratique qui permet d'intervenir très tôt, dès les premiers signes de violence psychologique, bien avant l'apparition de la violence physique.

Une stratégie, un piège
Que ce soit dans le domaine sectaire ou dans le domaine affectif, la manipulation répond toujours à un même mécanisme. Le but est de dominer, de mettre une ou plusieurs personnes sous son emprise, d'avoir à sa disposition quelqu'un dont on va faire ce qu'on veut, dont on va se servir comme une marionnette. Pour arriver à ses fins, le gourou ou le manipulateur en général met en place une véritable stratégie qui passe pas plusieurs étapes.

Dans un premier temps, on séduit la personne : on lui apporte beaucoup, dans le cadre du couple, on la bombarde d'amour, on lui dit que ça va être merveilleux, bref c'est une première phase de séduction comme du miel pour attirer une abeille. Ça ressemble à une séduction amoureuse, mais une séduction narcissique : le manipulateur se montre très beau, très protecteur, promet des tas de choses pour illusionner la personne. Il apparaît comme un prince charmant si c'est dans le cadre d'un couple*1 et comme un sauveur dans cadre d'une secte.

Ensuite il y a une phase de déstabilisation, petit à petit, par des micro violences, par des procédés verbaux qui ne se voient pas. Il amène ça par des petites remarques, des attitudes de mépris envers sa cible, il lui dit une chose puis son contraire. Il sous-entend des critiques mais il ne les dit pas vraiment, ce qui fait que la personne n'est plus sûre. Ça l'amène à ne plus savoir, elle pense qu'elle est libre, mais petit à petit le manipulateur arrive à la faire penser comme il le veut, il lui impose son mode de fonctionnement. Finalement le manipulé a comme un alien dans la tête qui l'empêche de penser, son gourou pense à sa place. C'est une effraction dans son psychisme.

Puis, il y a un isolement de la personne. On l'éloigne notamment de son entourage en le critiquant, en disant qu'il n'apporte rien. Dans les sectes, bien souvent, on contrôle les communications, on surveille les téléphones. Dans le couple, le manipulateur va tenter de rendre son conjoint dépendant financièrement en prétextant de devoir lui retirer sa carte bleue, par exemple.

En alternant la séduction puis la menace, en disant une chose et son contraire, le manipulé en arrive à une confusion totale ; il est dans un état hypnotique imposé, dans un état second : il est comme observateur de ce qui lui arrive. Il fonctionne comme un zombie. Il pense comme son gourou ou son manipulateur. Il y a un conditionnement. Dans le couple, par exemple, instinctivement, on culpabilise l'autre, on le rend responsable de ce qui ne va pas, on le rabaisse en permanence*2. Le manipulé finit par ne plus avoir d'esprit critique.

Toutes ces étapes amènent finalement à une phase de dépendance : au fur et à mesure la personne manipulée s'habitue, trouve que c'est normal, elle va avoir besoin de cette relation, qui va devenir une sorte d'addiction.

Il y a ceux qui manipulent...
La manipulation est un procédé pervers : on ne peut pas dire qu'il y a un portrait type des manipulateurs mais il y a des traits de caractères communs à toutes ces personnes qui peuvent se transformer en "gourou". Ce sont souvent des personnes qui ont besoin de dominer, d'avoir une cour avec des sujets qui vont faire ce qu'il entend. Ils ont une image d'eux-mêmes grandiose, les autres ne sont pour eux que des pions utiles quand on en a besoin, et que l'on peut détruire quand on n'en a plus besoin. Ils n'ont aucune culpabilité de ce qu'ils font. Ils sont en revanche très habiles pour projeter la culpabilité. Ce sont des personnes très intelligentes et hyper adaptées à la société. Ils vont savoir être très efficaces, séducteurs, pro, ils ont une très bonne image à l'extérieur. Autrement dit, quand on les voit, on se dit : "il ne peut pas me vouloir de mal" et même "quelle chance j'ai qu'il m'ait choisi". Pour parler un peu psy, je dirais que les manipulateurs sont souvent des pervers narcissiques ou des paranoïaques (mais pas au sens pathologique du terme, c'est un trait de caractère).

...et ceux qui sont manipulés
On peut tous se faire manipuler face à un grand manipulateur. Un bon manipulateur peut toujours trouver le point faible de la personne, or nous avons tous un point faible. Mais il est clair que les manipulateurs choisissent surtout des personnes qui ont une certaine vulnérabilité. Cette dernière s'acquiert en fonction des limites qu'on a eues pendant l'enfance. Si nos parents nous ont appris à avoir confiance en soi, à savoir ce qui est bon et pas bon et à avoir confiance en son ressenti, en général, on est moins vulnérable à ce genre de stratégie. Mais si, dans l'enfance, on a été malmené, que l'on a eu que des repères flottants, si on a été très affaiblis ou rendus très vulnérables (agression, maltraitance, abandon, etc...) à une époque de son histoire, alors on ne va pas forcément savoir repérer à quel moment un comportement est trop intrusif. En général, les manipulés sont des personnes qui ne savent pas dire non. Par exemple, quand on recrute dans une secte, on va chercher la fragilité quelle qu'elle soit, on s'engouffre dans la brèche du moment : deuil, licenciement, souci d'argent. Les gourous s'attaquent aussi bien aux femmes qu'aux hommes, les uns ne sont donc pas plus faciles à manipuler que les autres. Mais dans le cadre du couple il y a plus de femmes sous emprise.

Comment faire tilt ?
Dans la famille, ce qui fait déclic pour se sortir d'une manipulation, c'est quand ça passe malheureusement à quelqu'un d'autre (quand ça s'attaque aux enfants par exemple), ou quand ça dépasse un certain seuil (violence physique).
Dans les sectes, c'est plus difficile, plus long pour en sortir, car on a été isolé du monde extérieur et de son entourage proche. Si quelqu'un dit quelque chose, c'est considéré comme une intrusion ou une persécution. La aussi, ce sont les seuils inacceptables qui peuvent faire réagir : abus sexuel, et parfois tentative de suicide collectif.

Sortir de l'emprise
Les conséquences de la manipulation sont les mêmes qu'il s'agisse du couple, de la secte ou de la famille. La principale séquelle est que très longtemps après la victime continue à se dire : "qu'est-ce qu'il aurait dit ?" ; elle a tendance à se replacer dans ce que son manipulateur aurait voulu, elle reste imprégnée. Une personne sortie d'une secte, qui va mieux, peut encore dire aujourd'hui : "Qu'est ce que le gourou pense de ça ?", et elle est même tentée de lui demander. C'est vraiment une addiction. Pour vous citer un exemple de cette dépendance : j'ai reçu une femme dont le mari était un escroc qui manipulait tout le monde dans le cadre de la famille. Quand elle a réussi à se séparer, elle s'est rendue compte que leur fils entrait dans une secte, comme s'il en avait besoin, comme s'il était dépendant de cette manipulation dans laquelle il avait grandi. C'est très difficile de sortir de l'emprise.
Les humiliations qui ont été subies ne s'oublient pas. La personne ne cesse de se poser la question "pourquoi j'ai accepté, comment j'ai pu faire, est-ce que c'est parce que je suis trop faible ?". Elles culpabilisent d'avoir été piégée et ont honte pendant très longtemps. Ces personnes vont devenir méfiantes. Une femme victime dans son couple va avoir une méfiance pour redémarrer un autre couple.
Les personnes qui sortent des sectes sont en qui-vive permanent : "qu'est ce qu'il me veut celui là ?" est une question qui les hante. Car ils se disent sans cesse : "puisque je me suis fait piéger une première fois, pourquoi cela ne recommencerait pas".
Enfin, les manipulés ont un sentiment de vide : pendant longtemps ils ont été téléguidés, il va falloir qu'ils réapprennent à penser par eux-mêmes. Ça nécessite une rééducation. Ils ont perdu les références.

Un enfant est une cible facile
Manipuler un enfant est beaucoup plus facile que manipuler un adulte. Un enfant est plus vulnérable, plus facile à modeler, à façonner. Le syndrome d'aliénation parental (SAP) consiste pour un parent à monter un enfant contre l'autre parent, l'accusant de violence ou même d'abus sexuel ou, de façon plus perfide, de ne rien dire d'évident mais de disqualifier en permanence l'autre parent auprès de l'enfant. Comme dans n'importe quelle manipulation le processus est le même : on apprend à l'enfant à penser autrement, et en l'occurrence à penser contre l'autre parent. Il s'ensuit d'interminables procédures : l'enfant ne veut soit-disant pas aller chez son père, ou sa mère, parce qu'en fait il est contrôlé par l'autre parent. Induire un SAP à un enfant est un abus émotionnel qui peut avoir des répercussions psychologiques graves pour l'enfant avec un sentiment de culpabilité provoqué par le fait qu'une fois adulte il réalise qu'il a été complice d'une injustice par rapport à l'autre parent. Mais il faut faire attention avant de poser un tel diagnostique de bien s'assurer que les accusations ne sont pas fondées.

 

 

*1: En lisant cet article je me suis souvenue du début, où en effet il était très gentil et protecteur, il me promettait un bel avenir ensemble, me parlait de monter un restaurant, enfin des conneries que du haut de mes 16ans je croyais!

 

*2: Durant des années j'ai été rabaissée, surveillée (internet, téléphone, mes heures d'arrivée etc..) On m'a toujours fait culpabiliser pour tout et n'importe quoi, il disait que je n'étais qu'une merde. Des amis, je n'en avaos plus, tous perdus a cause de lui. Ma famille hésitait a m'inviter de peur du scandale qu'il allait créer a cause de l'alcool.

 

 

Sources: link

parent solo.fr

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